17ème jour: Comillas -> Serdio - 21 km
Étape courte aujourd'hui. Avec Maria, nous mangeons avant de partir de la pension à 7 h 45. Et bonne surprise. Nous pouvons prendre un café. Ce n'est pas toujours le cas.
Nous apprécions.
Le ciel est couvert. Il ne fait pas trop chaud. Un temps idéal pour marcher.
Toujours du bitume, mais des petites routes de campagne au milieu des champs et des eucalyptus - avec peu de circulation. J'aime l'odeur des eucalyptus.
Nous entrons dans le parc national d'Oyambre. Le paysage est un peu lunaire. Des arbres morts au milieu de landes dénudées et humides. Des sortes de marécages. Curieux. Nous voyons des oiseaux, mais pas trop.Nous longeons toujours plus ou moins la mer. Nous retrouvons Katharina qui elle a le ventre vide et toujours pas de café à l'horizon.
Et c'est difficile pour elle.
San Vicente de la Barquera devant nous après l'important pont de la Maza.
Il est 11h. Avec Maria, nous faisons une pause casse-croute. Maria continue et moi je m'arrête là pour m'occuper de mon portable. La boutique de réparation de portable qui m'a été indiquée est ici.
Je la trouve sans difficulté. Je visite la ville pour laisser au réparateur le temps de réparer. Pas de photo. Je n'ai plus de portable. Dommage, car c'est très beau.
Faux espoir. Il ne peut pas réparer. C'est l'écran qui a pris cher - le tactile ne fonctionne plus - c'est pour ça que le portable s'est mis en mode sécurisé. Il faudrait changer l'écran, mais ça prendrait 2 jours. Pas possible.
J'en profite pour m'excuser auprès de vous, mes lecteurs, pour la qualité toute relative de mes textes et photos. Vu que mon portable fonctionne a minima, je dois me contenter du 1er jet. Aucune correction possible.
Donc 1ère leçon du chemin: ne pas laisser tomber son portable dans la mer - ce n'est pas bon pour lui et ce n'est pas bon pour son propriétaire. Jusqu'à la fin, je devrais me passer de Whatsapp, keep, podomètre et autres applications bien utiles. Tant pis!
Mais c'est comme ça!
Je reprends la route. Et Martina me rejoint. Martina est de Munich. Elle fait généralement chambre commune avec Katharina- Mais Martina part très tôt et dort rarement dans les auberges. C'est pour cela que je la connais peu.
Nous faisons route ensemble jusqu'aux abords de Serdio où elle a réservée une pension avec Katharina. Je rejoins l'auberge qui n'est pas pleine. C'est ce que me dit l"hospitalière que je croise en route.
Il est 14 h 15. Je prends possession d'un lit.
Douche. Lavage petit linge. Mais j'ai faim!
Les français qui sont là attendent le repas du soir. Pas possible pour moi. Je vais à la Taberna.
El menu del dia: arroz con calamares, truche con patatas, gelato, pan, vino roja, agua, café - 11 €
Je finis mon plat quand je vois arriver Katharina & Martina.
Mais pas de Maria. Elle a dû aller plus loin.
Je croise aussi Anne qui elle aussi a décidé d'aller plus loin.
A ceux qui mettent en avant mon courage, non, je dis non. Les premiers jours, c'est difficile car le corps n'est pas habitué. Mais après et actuellement, ce n'est que du plaisir. Et qui plus est, à fréquenter des plus jeunes, je me sens rajeunir.
Le plaisir de la rencontre, de la découverte. Se laisser porter par le chemin.
Juste marcher.
Le sac reste lourd, certes. Mais c'est mon sac!
Nous apprécions.
Le ciel est couvert. Il ne fait pas trop chaud. Un temps idéal pour marcher.
Toujours du bitume, mais des petites routes de campagne au milieu des champs et des eucalyptus - avec peu de circulation. J'aime l'odeur des eucalyptus.
Nous entrons dans le parc national d'Oyambre. Le paysage est un peu lunaire. Des arbres morts au milieu de landes dénudées et humides. Des sortes de marécages. Curieux. Nous voyons des oiseaux, mais pas trop.Nous longeons toujours plus ou moins la mer. Nous retrouvons Katharina qui elle a le ventre vide et toujours pas de café à l'horizon.
Et c'est difficile pour elle.
San Vicente de la Barquera devant nous après l'important pont de la Maza.
Il est 11h. Avec Maria, nous faisons une pause casse-croute. Maria continue et moi je m'arrête là pour m'occuper de mon portable. La boutique de réparation de portable qui m'a été indiquée est ici.
Je la trouve sans difficulté. Je visite la ville pour laisser au réparateur le temps de réparer. Pas de photo. Je n'ai plus de portable. Dommage, car c'est très beau.
Faux espoir. Il ne peut pas réparer. C'est l'écran qui a pris cher - le tactile ne fonctionne plus - c'est pour ça que le portable s'est mis en mode sécurisé. Il faudrait changer l'écran, mais ça prendrait 2 jours. Pas possible.
J'en profite pour m'excuser auprès de vous, mes lecteurs, pour la qualité toute relative de mes textes et photos. Vu que mon portable fonctionne a minima, je dois me contenter du 1er jet. Aucune correction possible.
Donc 1ère leçon du chemin: ne pas laisser tomber son portable dans la mer - ce n'est pas bon pour lui et ce n'est pas bon pour son propriétaire. Jusqu'à la fin, je devrais me passer de Whatsapp, keep, podomètre et autres applications bien utiles. Tant pis!
Mais c'est comme ça!
Je reprends la route. Et Martina me rejoint. Martina est de Munich. Elle fait généralement chambre commune avec Katharina- Mais Martina part très tôt et dort rarement dans les auberges. C'est pour cela que je la connais peu.
Nous faisons route ensemble jusqu'aux abords de Serdio où elle a réservée une pension avec Katharina. Je rejoins l'auberge qui n'est pas pleine. C'est ce que me dit l"hospitalière que je croise en route.
Il est 14 h 15. Je prends possession d'un lit.
Douche. Lavage petit linge. Mais j'ai faim!
Les français qui sont là attendent le repas du soir. Pas possible pour moi. Je vais à la Taberna.
El menu del dia: arroz con calamares, truche con patatas, gelato, pan, vino roja, agua, café - 11 €
Je finis mon plat quand je vois arriver Katharina & Martina.
Mais pas de Maria. Elle a dû aller plus loin.
Je croise aussi Anne qui elle aussi a décidé d'aller plus loin.
A ceux qui mettent en avant mon courage, non, je dis non. Les premiers jours, c'est difficile car le corps n'est pas habitué. Mais après et actuellement, ce n'est que du plaisir. Et qui plus est, à fréquenter des plus jeunes, je me sens rajeunir.
Le plaisir de la rencontre, de la découverte. Se laisser porter par le chemin.
Juste marcher.
Le sac reste lourd, certes. Mais c'est mon sac!
![]() |
La campagne à proximité de la mer |
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La vue sur la gauche du Puente de la Maza |
Coucou Françoise. Ton blog s'est sauvé des vagues et ton premier jet d'écriture est parlant,revigorant!Ton portable a su au moins garder l'essentiel. Ce soir, au milieu des mails,documents administratifs et j'en passe,te lire est une belle échappée!Bon courage pour demain. Te souhaite de beaux petits chemins odorants, et encore des rencontres. c'est vraiment génial de cheminer tour à tour seule et à plusieurs T'embrasse Br
RépondreSupprimerRavie de savoir que tu as dépasser la période d'adaptation pénible et que tu as rajeunis. Super!! Tu me donnes envie. Et oui : Faire tomber le portable, oublier les bâtons, je te reconnais bien !!!! Mais je ne dis pas, que je ferais mieux, on est du même tissu.
RépondreSupprimerAllez Bonne soirée, recharge bien les batteries
M.A Rochefort